Une histoire raconte qu’un empereur chinois posa une question à un grand maître indien :
« Dites-moi, quel est le principe fondamental du bouddhisme ? » Et il s'installa, prêt à entendre la réponse de source sûre.
Le maître répondit : « Cesser de faire le mal, apprendre à être bon, purifier le cœur – voici le principe fondamental du bouddhisme. »
L'empereur fut totalement déconcerté. Il avait déjà entendu cela. Il répondit alors : « Est-ce tout ? Est-ce cela le principe fondamental du bouddhisme ?
- Oui, répondit le sage, c'est tout. Cesse de faire le mal, apprends à être bon, purifie ton cœur. Ceci est véritablement le principe fondamental du bouddhisme.
- Mais c'est si simple que même un enfant de trois ans peut le comprendre ! Protesta l'empereur.
- Oui, votre Majesté, répondit le maître, c'est très vrai. C'est si simple que même un enfant de trois ans peut le comprendre, mais c'est si difficile que même un vieil homme de quatre-vingts ans ne peut le mettre en pratique. »
Pourquoi est-il si difficile d’atteindre la bonté et la pureté de cœur ? Simplement parce que ce n’est pas – ce n’est plus – la nature de l’être humain. Au commencement, Dieu a créé l’homme bon et pur, mais à cause du péché, l’homme a perdu cette bonté et cette pureté.
Dans son sermon de Bénarès, Bouddha a déclaré : « Voici encore, en vérité, ô moines, la sainte Vérité de la douleur : la naissance est douleur, la vieillesse est douleur, la maladie est douleur, la mort est douleur, l'union avec ceux que l'on déteste est douleur, la séparation avec ceux que l'on aime est douleur, ne pas obtenir ce que l'on veut est douleur. En résumé les cinq agrégats d'appropriation sont douleur. » La vie n’est-elle que souffrance et douleur comme l’affirme cette première des quatre nobles vérités, une souffrance provenant de notre soif de désir comme l’affirme la seconde vérité ?
Si l’homme n’est pas bon, Dieu, Lui, l’est, et Il n’a pas prévu que nous vivions dans la souffrance ou la maladie à cause de choix ou d’actes que l’on aurait faits, dans cette vie ou dans une vie passée, ni pour « gagner » une meilleure existence dans une autre vie.
Dieu nous a créés avec cette pensée de l’éternité, cette conscience que la vie ne s’arrête pas simplement lors de notre mort physique. Justement, qui d’autre qu’un Dieu éternel peut nous dire ce qui se passe au-delà de notre mort physique ?
Il est vrai qu’il y a une punition aux mauvais actes, aux mauvais choix – au péché – et cette punition est l’enfer, la souffrance et la douleur qui seront éternelles.Toutefois, à ceux qui choisissent de changer de voie, Dieu offre une autre destination.
Vous pouvez expérimenter la paix, la joie, la bonté, l’amour de Dieu, dans cette vie et dans la vie éternelle ; une paix qui dépasse de loin tout ce que cette Terre et l’être humain ont à nous offrir. Parce que Dieu vous aime, Il a choisi de sacrifier Son Fils Jésus pour vous, afin que vous puissiez vivre cette vie, que vous n’ayez pas à vivre sous le poids de votre passé et de vos erreurs, et que vous puissiez enfin vivre libre !
On dit de Bouddha (un mot qui signifie « illuminé ») qu’il est la lumière de l’Asie, mais Jésus a dit : « Je suis la lumière du monde, celui qui Me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. »
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