Laissez-moi vous donner une image : vous m’invitez à dîner chez vous. Alors, vous me donnez des indications claires pour trouver votre maison : « Prends l’autoroute A10 vers le sud ; sors à la sortie 22 ; continue tout droit, et tu trouveras ma maison. » Vous me précisez bien qu’il s’agit de la seule et unique route permettant de venir chez vous.
Imaginez que je vous réponde alors : « Non, je vais faire autrement. Je vais prendre l’A10 vers le nord et sortir à la sortie 12, car je crois que tous les chemins mènent à Rome. »
Vous essayez de m’expliquer qu’en utilisant cette route je n’arriverai jamais chez vous, mais je suis têtu et je reste sur ma position.
“ Dieu nous donne des indications clairs pour arriver jusque chez Lui, au Ciel. ”
De la même manière, Dieu nous donne des indications claires pour arriver jusque chez Lui, au Ciel. Dieu sait quand même où Il habite ! La seule chose qu’il nous reste à faire est de suivre Ses indications, et nous y arriverons ! Ce n’est pas être étroit d’esprit, mais c’est être précis, spécifique.
Cela peut sembler politiquement incorrect d’affirmer qu’il n’existe qu’un seul chemin, mais c’est pourtant la vérité. Pourquoi y a-t-il tant de choses pour lesquelles nous acceptons qu’il n’y ait qu’un seul chemin, mais dès qu’il s’agit d’aller au Ciel, nous avons soudain cette attitude :« Ah, mais tous les chemins mènent à Rome ! » ?
Dans son livre Où est Dieu ?, Dr Erwin Lutzer donne une excellente illustration : après que la nouvelle de la tragédie du Titanic s’est répandue, le défi était de savoir comment annoncer aux proches qu’un membre de leur famille ou leur ami était décédé ou avait survécu. À Liverpool (Angleterre), le siège de la compagnie maritime a pris un immense tableau ; d’un côté ils ont inscrit : « A survécu » et de l’autre :« Porté disparu. » Des centaines de personnes se sont précipitées pour s’informer de l’avancée des recherches. Lorsqu’un messager apportait une nouvelle information, les personnes présentes retenaient leur souffle, se demandant de quel côté il allait aller, et quel nom il ajouterait sur la liste.
Peu importe que les passagers du Titanic aient été en première, deuxième ou troisième classe, car après le naufrage il n’existait plus que deux catégories : les survivants et les noyés. De la même manière, on peut diviser les individus en tellement de classes selon la géographie, la race, l’éducation, la richesse, mais au jour du Jugement, il n’existera plus que deux classes : les sauvés et les perdus. Il n’y a que le Ciel ou l’enfer.
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